L’IGC et la Commune de Paris


Aubin-Émile COULARD-DESCOS, né en 1826, est un ancien élève de l’École Polytechnique et de l’École des Mines de Paris. En 1866, il entre à l’Inspection Générale des Carrières de la Seine, au service des consolidations. Rapidement employé comme chef des ateliers, il s’illustre notamment dans la direction des travaux de consolidation de l’aqueduc de la Vanne ainsi que du Réservoir de Montsouris. C’est aussi à cette période que sont effectués les travaux sous le boulevard Arago, sous les mairies du XIIIe et du XVIe, ainsi que des bains résineux et du pensionnat de l’asile Sainte-Anne.

L’IGC avant la Commune : Le siège de 1870

La constitution des bataillons de mineurs

Dès août 1870, l’avancée des troupes coalisées dans l’Est de la France fait craindre une percée des Prussiens qui pourrait menacer Paris. Le comité de défense de la ville fait étudier les carrières dans le but de fermer les accès se trouvant au-delà de la ligne des fortifications et pouvant être utilisé par l’ennemi.  Il semble que dès le 9 août, suite à une demande du nouveau préfet de la Seine, Henri Chevreau, le personnel de l’Inspection Générale des Carrières (I.G.C.) passe sous l’autorité du Génie. C’est entre cette date et le 24 août que sont formés les bataillons de mineurs auxiliaires, commandés par l’inspecteur général Jacquot et dirigés sur le terrain par l’ingénieur ordinaire Descos, qui va notamment organiser les travaux de creusement au niveau des forts, faire remblayer des galeries dangereuses, combler des puits et fermer des carrières à ciel ouvert qui auraient pu servir de bastions aux armées ennemies.

plan des carrières 1870 réalisé par l'IGC
Plan des carrières souterraines et à ciel ouvert – 1870

Ces bataillons semblent avoir fait partie du corps auxiliaire du Génie placé sous la direction d’Adolphe Alphand, ingénieur des ponts-et-chaussées, et de Viollet-le-Duc. Le corps changera de nom pour devenir la légion du Génie de la Garde Nationale le 7 novembre 1870. Ce corps des mines, qui n’a de bataillon que le nom, se compose en fait de 200 à 300 hommes pour exécuter les travaux de défense.

Des travaux de défenses souterrains

Parmi les travaux les plus importants réalisés par Descos, on note deux communications souterraines d’importance : la première permettant de relier le fort de Montrouge au Bastion 80 de l’enceinte de Thiers près de la porte d’Orléans ; la deuxième, moins connue, reliait la courtine du fort de Vanves à une carrière à ciel ouvert sur le chemin de Paris à Châtillon dont nous reparlerons plus tard. 

Pendant le siège de Paris, il semble que les forts du Sud aient été moins bien préparés à une attaque et se soient retrouvés en mauvaise posture. Leur approvisionnement était compliqué en raison des bombardements prussiens. Des mesures de ravitaillement de nuit ont alors été prises pour les forts de Vanves et Issy.

Le fort de Montrouge

Pour Montrouge particulièrement, on a profité de la communication ouverte par Descos pour créer une ligne de ravitaillement souterraine. Un cordon de gardes nationaux a alors été constitué entre le Bastion 80 et le fort afin de faire transiter des vivres, gabions, fascines, piquets, des sacs de plâtre, de ciment et de terre (à raison de 75 à l’heure !), ainsi que, l’on peut l’imaginer, des munitions.

Plan du génie du fort de Montrouge en 1870 avant le percement du puits par l'IGC
Plan du fort de Montrouge

Eugène Hennebert, officier du Génie, nous dit ceci parlant des gardes nationaux chargés de cette mission : « […] On crut pouvoir mieux tenir en les échelonnant sous terre dans une galerie abritée des obus, et cet espoir ne fut pas déçu. Égrenés en chapelet, ils formèrent une chaîne continue du Bastion 80 jusqu’au fort de Montrouge […] »

D’après l’Annale des Mines de 1873, la galerie reliant le fort à Paris fut aussi utilisée en y installant des fils télégraphiques permettant la continuité des communications avec la place forte, ainsi que pour l’alimentation en eau du fort en y plaçant une conduite d’eau qui servait à remplacer les pompes du fort brisées par des obus. 

Cette galerie fut apparemment si utile au maintien du fort, que les Allemands, en apprenant son existence, se mirent le 25 janvier 1871 à bombarder le Bastion 80 afin de détruire l’escalier. Toute la journée, sous le feu ennemi, les ouvriers durent procéder à des travaux de réparation et de blindage pour maintenir l’entrée de la galerie.

Photographie d'une batterie d'artillerie prussienne en 1871
(photo d’illustration) batterie prussienne dirigée vers Paris

Des travaux de défense en carrière furent aussi exécutés au même moment. En effet, le conseil de défense de Paris fut rapidement assailli de lettres de Parisiens ayant eu vent d’un souterrain permettant aux Prussiens de rentrer dans Paris. De plus, il était de notoriété publique que des étrangers étaient employés dans les carrières et champignonnières de banlieue proche. Autant d’étrangers qui devenaient d’un seul coup suspects de transmettre des informations à l’ennemi. Cette psychose a poussé Descos à diriger lui-même des travaux de remblaiement et de murage de certains secteurs. La plus emblématique des traces encore visible aujourd’hui est une meurtrière dans un massif à l’approche du fort de Montrouge.


(croquis de meurtrières installées dans les égouts – 1870)

Voilà ce qu’en dit le journal « Le Soleil » du 26 décembre 1901 :

« Descos avait, à cette époque, une quarantaine d’années environ. Il se donna tout entier à sa mission avec un zèle héroïque. C’était, vous pouvez me croire, un rude labeur que celui de ces pionniers de l’ombre. Courbé sous la voûte surbaissée de ces boyaux souterrains où il fallait se glisser, se traîner, quelquefois même ramper. Descos explorait avec ses hommes les moindres détours de ce dédale. Sa petite troupe était divisée en deux parts. Pendant que l’une veillait et travaillait, l’autre se reposait. Descos, lui, ne se reposait jamais. Sa lanterne sourde à la main, infatigable, il allait toujours en relevant le tracé des galeries, augmentant considérablement les cartes très imparfaites que nous possédions alors, barrant les galeries dangereuses, où l’ennemi aurait pu s’introduire, avec des murs de pierre sèches percés seulement d’un trou de chat qui ne pouvait donner passage qu’à un seul homme et que nous faisons garder facilement par une sentinelle.

Il y eu quelques alertes. Plus d’une fois, nous entendîmes des pas et des voix derrière nos barrages. un jour même, le bruit lourd du pic et de la bêche éveilla notre attention. Nous accourûmes. Tout rentra dans le silence. Mais derrière l’un des murs nous relevâmes aisément des traces de pas; les lourdes bottes des sapeurs, les fines semelles des bottines d’officiers avaient laissé des empreintes distinctes. À l’un de nos « trous de chat » une de nos sentinelles avait été enlevée. Nous l’avions échappé belle. Ce fut ainsi pendant toute la durée du siège.

Descos y perdit la santé et mourut quelque temps après la guerre. »

le fort de vanves

En même temps que ses ouvriers s’employaient à faire communiquer le fort de Montrouge avec la Place, Descos dirigea le creusement d’une nouvelle galerie permettant de relier le fort de Vanves à une exploitation à ciel ouvert se trouvant le long de la route de Paris à Chevreuse : Cette carrière en exploitation au milieu du XIXe siècle se situait proche de la rue Germain Dardan à Montrouge. Dans ses parties les plus profondes elle atteignait les 20 mètres de profondeur et connectait à la fois des galeries de niveaux supérieurs et inférieurs.

Carte de l'IGC montrant l'ancienne carrière Dardan et Michau
carrière Dardan et Michau

Dans un premier temps, seul un puits dans les fossés du fort permettait l’accès aux carrières, ce qui les rendait compliquées d’accès. Un second puits a donc été commencé dès le 23 octobre 1870 et dû se terminer autour du 12 ou 13 novembre. Le journal du siège du fort de Vanves, tenu par le général Brunon, nous apprend de plus que la communication entre le puits et la carrière existait au 28 janvier 1871, le creusement de la galerie a donc dû s’effectuer aux premiers jours de janvier 1871.

 Cette communication a eu une grande utilité là encore pour le ravitaillement du fort. En effet, l’entrée de la carrière à ciel ouvert était loin de la route stratégique, très surveillée et en vue des artilleurs prussiens.

Carte de l'IGC montrant la galerie creusée dans la masse sous le fort de Vanves et qui servira à la Commune
Puits creusé entre les poternes 1 et 2 du fort de Vanves

L’inexistence d’une cartographie globale et complète des carrières de ce secteur a rendu cette opération très périlleuse, Descos lui-même devant reconnaître des puits de carrières qui se trouvaient par endroit sous le feu des Prussiens.

Au vu du succès et de l’utilité de ces communications souterraines, Descos commença à ébaucher deux autres galeries qui devaient permettre de relier les forts d’Issy et d’Ivry avec la capitale. Cependant le tracé des galeries n’était pas encore fini quand l’armistice du 28 janvier 1871 mit fin à l’étude. Contrairement à ce qui est marqué dans plusieurs sources et suggéré même par Émile Gérards, aucun de ces deux forts, ni celui de Vanves, n’a jamais été relié au bastion 80. Et l’étude des planches suggère que, mise à part pour Vanves, ces projets auraient été assez compliqués à mettre en place.

1871 : les I.G.C.

Le déclenchement de l’insurrection

Avec l’armistice, les Parisiens subissent les plus grandes humiliations. Il faut rappeler ici que les Prussiens n’avaient jamais pris Paris, que les habitants s’étaient saignés allant jusqu’à s’engager dans la Garde Nationale pour défendre la ville et se cotiser pour acheter leurs propres canons. Que les parisiens ont vécu une grave famine pendant l’hiver 1870 et qu’aux premiers mois de 1871, le gouvernement d’Adolphe Thiers, nouvellement formé, accepte que les troupes prussiennes défilent dans Paris, suprême humiliation face aux ouvriers et artisans qui s’étaient engagés dans la Garde Nationale. Alors, lorsqu’en plus, ce sont des Bonapartistes qui sont installés aux postes de préfet de Police et de Chef de la Garde Nationale ; lorsque le gouvernement signe un armistice que les Parisiens ne veulent pas ; lorsque le gouvernement lui même déplace l’assemblée nationale à Versailles ; lorsqu’il tente même de reprendre les canons aux Parisiens et donc de désarmer la garde, c’en est trop. C’est toute la rage et la fierté du peuple de Paris qui s’exprime ce 18 juin 1871. C’est le soulèvement, c’est la Commune de Paris qui débute.

L’Inspection des Carrières dans l’insurrection

Le contexte de l’I.G.C. pendant la Commune de Paris, lui, est assez trouble, voilà ce qu’en dit Emile Gerards : 

“En janvier 1871, les compagnies de mineurs auxiliaires sont désarmées et les ouvriers ré-intègrent leurs ateliers pour reprendre les consolidations de la capitale. En mars, malgré le départ du gouvernement, les travaux continuent avec seulement huit ouvriers sous les ordres de l’ingénieur Descos, qui recevait toujours des fonds du préfet de la Seine installé à Versailles, tout comme l’ingénieur en chef des carrières. Le reste des ouvriers avaient été envoyés à Champigny pour l’entretien des puits à eau, afin de les préserver de l’enrôlement des hommes de moins de quarante ans décrété par la Commune.

L’IGC fonctionna ainsi en dehors de l’autorité de la Commune jusqu’au 21 avril 1871. Le soir du même jour, M. Descos trouva son bureau occupé par un piquet de gardes nationaux commandé par un commissaire de police et deux géomètres du service des carrières. Ils lui notifièrent la nomination de Lantillon comme inspecteur général des carrières et du remplacement de Descos par M. Grousselle (Lantillon et Grousselle étant sous les ordres de la Commune).

M. Descos remit alors à la Commune tous ses documents et rejoint à Versailles l’ingénieur en chef. Lantillon fit réunir tous les documents et toutes les archives de l’IGC à l’Hôtel de Ville, dans des locaux mis à disposition par la Commune. Les archives furent détruites peu de temps après en mai 1871 lors de l’incendie du bâtiment.”

Il est à noter que Lantillon, Inspecteur Général des Carrières sous la Commune, avait été précédemment sous les ordres de Descos pendant le siège de Paris. Il avait alors une très bonne compréhension de la situation et des travaux engagés pendant le Siège. Cela explique aussi en partie l’absence de consolidations réalisées, Lantillon s’étant concentré pendant les deux mois de son inspectorat à continuer les travaux de recherche et de défense sous la banlieue sud.

Le retour des forts du sud

Les rares sources connues qui décrivent le rôle du Génie militaire sous la Commune ne donnent que peu d’informations sur l’utilisation des carrières. Les papiers suggèrent que l’étude de ces communications souterraines n’aient commencé que très tardivement et que leur rôle se soit borné à du ravitaillement et à de l’évacuation.

Pour le fort de Montrouge, c’est le 7 avril 1871 que l’ingénieur principal du fort, Gheerbrant, demande de réactiver la communication avec Paris. Dans la suite, il va charger l’un de ses conducteurs, Moussard, de chercher des voies de communication vers le plateau de Châtillon. 

Dans un premier temps, la grande peur du Génie était que l’armée versaillaise puisse user de tels passages pour rentrer à l’intérieur de la ligne de fortification des fédérés. Les premiers rapports faits par Moussard après avoir sondé les passages obstrués confirment cependant qu’aucune connexion n’existe avec les carrières du plateau de Châtillon et que, en l’état, ces mêmes carrières ne peuvent servir à atteindre les lignes versaillaises.

Au fort de Vanves, le puits d’accès creusé dans la poterne entre les courtines 1 et 2 a été dissimulé lors de l’évacuation du fort par l’armée de Versailles et ce n’est que le 25 avril 1871 que l’ingénieur Nachbaux fait procéder à des sondages afin d’en retrouver la trace et de le rouvrir.

Plan du Génie du fort de Vanves 1870 - Avant que l'IGC ne perce le puits
Plan du Fort de Vanves

Un nommé Délicourt était, lui, chargé de reconnaître les communications souterraines existantes entre Paris et les forts extérieurs. Ses rapports concernant les communications de Montrouge et de Vanves indiquèrent que les galeries étaient pleines d’eau et que les seules utilisations qui pouvaient en être faite étaient l’évacuation et le ravitaillement des ouvrages. Dans tous les cas, les ingénieurs attachés à savoir si les forts pouvaient être sapés via les carrières déclarèrent tous qu’au vu du recouvrement il n’était pas possible de les faire sauter par le dessous.

Les projets de Lantillon

Parallèlement à ces vérifications, l’inspecteur général Lantillon fit transmettre une dépêche au délégué à la guerre Rossel qui énumérait les objectifs à atteindre. En fait, les objectifs déjà listés par Descos lors du précédent siège mais que l’armistice avait empêché étaient : 

  • relier souterrainement les forts de Montrouge et de Vanves entre eux ;
  • relier souterrainement avec Paris le fort d’Ivry ;
  • relier souterrainement les carrières souterraines de calcaire à proximité du fort de Vanves aux carrières de Gypse du plateau de Châtillon ;
  • faire communiquer les galeries sous le plateau de Bagneux avec une carrière à ciel ouvert afin d’y établir un poste de surveillance

Bien évidemment, les quelques semaines que Lantillon eut avant l’assaut des Versaillais n’ont pas suffit pour réaliser ces objectifs assez ambitieux. Nous pouvons cependant noter que les carrières ont tout de même servi à l’évacuation du fort de Vanves. En effet, pendant le siège conduit par les Versaillais dans la nuit du 13 au 14 mai, sur l’ordre du commandant du fort, le citoyen Durassier, l’entièreté de la troupe stationnée dans le fort s’enfuit par les carrières de sorte à ce que les Versaillais en entrant dans le fort furent surpris de trouver la place vide. Dans le même temps, la colonne de Communards semble s’être perdue en petits groupes et des articles de l’époque mentionnent même le sauvetage de ces hommes, perdus dans des galeries à moitié inondées, sans lumière.

Enfin, Lantillon eut à organiser un système de barricades dans les carrières pour éviter que les Versaillais ne profitent eux aussi des communications souterraines. Il mit en place une surveillance des puits, et tenta d’exécuter “un retour offensif” par les carrières pour reprendre le fort de Vanves. Un rapport sur rôle joué par le service du Génie des Insurgés dans la défense de Paris indique ceci :

“[…]mais cette dernière opération fut déjouée par la précaution qu’eut l’attaque  de faire éclairer de temps en temps par des grenades le puits de la poterne du fort; d’ailleurs, une explosion de 300 kilog. qu’on effectua dans la galerie allant de Vanves à la carrière de Montrouge ôta à la défense toute envie de revenir à la charge.”

Télégramme annonçant la prise du fort de Vanves par l'armée Versaillaise et la fuite des Communards par les carrières - Commune de Paris
Télégramme annonçant la prise du fort de Vanves par les Versaillais et la fuite par un puits de carrière des Communards

L’autre I.G.C.

Dans le même temps où Lantillon tentait de reprendre le fort de Vanves par les souterrains, Jacquot et Descos, de concert avec les Versaillais, effectuaient des travaux de déblaiement afin de faire la jonction avec les galeries qu’ils avaient si bien isolé lors du siège précédent :

« Entre-temps, les ateliers de l’IGC furent de nouveau armés comme en 1870 et employé aux travaux souterrains des forts. M. Descos, avec quelques ouvriers protégés par des troupes versaillaises, essayait en venant de Châtillon d’atteindre une galerie de communication du fort de Vanves. Il y parvint le 13 mai, mais découvrit la galerie obstruée et ne put pénétrer dans le fort de cette manière. Celui-ci fut de toute façon réduit à l’état de ruine et sur le point d’être pris par les troupes versaillaises de manière conventionnelle. »

Emile Gerards, Paris Souterrains,

Pour terminer, on peut noter que si les carrières souterraines ont pu servir de refuge pour beaucoup de soldats, elles ont aussi causé des destructions bien plus importantes que prévu dans certains cas. Ainsi, près l’évacuation du fort d’Ivry par les fédérés le 25 mai 1871, l’explosion d’une poudrière souffla neuf casemates entre les front 3 et 4 et provoqua la rupture du ciel de carrière. Un fontis qui emporta en grande partie cette fortification devenue inutile. On peut cependant noter qu’un égout perdu avait provoqué des faiblesses dans le ciel de carrière : en effet, les eaux du fort se perdaient dans le sol jusque dans les carrières. C’est la raison pour laquelle en 1875, en même temps que les travaux de réparation, on construisit un aqueduc permettant d’évacuer les eaux de pluie et les eaux usées du fort à l’extérieur des fortifications.

Coupe représentant le fontis sous le fort d'Ivry suite aux combats de la Commune de Paris
Coupe du fontis apparu sous les casemates du fort d’Ivry-sur-Seine en 1871

Sources :

Pour aller plus loin

  • Le fort d’Ivry-sur-Seine
  • Gilles Thomas, « Le fort de Vanves pendant la Commune : un destin peu commun », Le petit Fortillard, N°39 2nd semestre

Remerciements

Merci à La Fille pour la relecture et la correction

Mise à jour le 20/10/2023

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